Nos contentamos de decir adiós a las vacas embobecidas al
paso de mi amigo Elie, y ya estábamos cruzando otro caserío, perteneciente a la
comuna de Bad Heilbrunn, Obersteinbach. Una abuela dormía a pierna suelta a un
costado de su casa, donde un huerto dejaba ver coles, lechugas, tomates y otras
legumbres. Casi pegado al caserío, Untersteinbach, una granja en la que un
ternero nos hizo señas de que lo sacáramos de su encierro. Para que no nos
remordiera la conciencia, seguimos rodando y nos desentendimos del lloriqueo
del ternero. ©cAc weg2011
Qui est l'intru dans les photos ci-dessus?
RépondreSupprimerLe pauvre!, il pleure sa maman évadée de la ferme avec un cycliste d'ailleurs idole des vaches bavaroises!
RépondreSupprimerMais quand meme il reste une troupe qui aspire dominer les premiere page de Elle ! Vue l'innombrable quantite de foto qu elles ont eu.
RépondreSupprimerLe cycliste evade, tente sa chance d'avoir une photo a cause de son accompagnatrice !!
Evidemment, l'appel des vaches s'étend par le vieux continent, en attendant les prochains clichés sur le blog, nous rentrerons au cinéma MK2 Beaubourg voir "Bovines" un filme émouvant sur tes copines...puis, tu auras des photos et des vache-portraits! Fais gaffe aux taureaux de l'Aubrac et du cantal!
RépondreSupprimerOh lala Capitan...tu ne changes pas!!!
RépondreSupprimerEcoute une vache parle a sa copine:
- N as tu pas peur de la maladie de la vache folle???
Sa copine lui repond:
- Pas du tout, je suis un canard :-)))))))